J'ai essayé de vous revoir, j'ai demandé la permission à votre père. Il m'a répondu d'accord, mais pas maintenant. Qu'il était occupé en ce moment. Je ne vois pas en quoi il aurait besoin d'être libre pour que je puisse passer vous chercher. Mais bon.
Je t'ai retrouvée sur Facebook, Puce. Oui, tu as grandi, maintenant tu demandes des gens en amis sur Facebook ... ha, y'a plus d'enfance.
Une main tendue vite gâchée par le fait que tu supprimais mes petits mots et ignorais mes messages privés. J'ai donc demandé à ton père ce qui se passait, espérant naïvement récolter quelques informations sur comment tu allais, comment tu avais pris la nouvelle, ... mais non : il a répondu qu'il n'était au courant de rien. Et toi tu as essayé de me faire du mal et de me manipuler. Au début, j'ai été gentille, compréhensive. Puis j'ai remis les pendules à l'heure : non. Tu seras toujours la bienvenue, mais pas comme ça. Puis j'ai préféré m'éloigner un peu de toi, pour me protéger. Et si je me suis débarassée de la culpabilité, je souffre désormais de cette expérience. Mais je ne t'en veux pas : je sais que tu es perturbée ... tu n'es qu'une enfant.
Zig, de toi je n'ai aucune nouvelle. J'ai l'impression de t'avoir abandonné. Ta soeur m'a dit qu'il fallait que je vous foute la paix, et tu étais dans la liste des gens à laisser tranquille. ça vient de toi ? Ou elle cherche à te manipuler, toi aussi ? Tu me détestes ? Ou je te manque ? En tout cas toi, tu me manques. Beaucoup. Des larmes me sont montées aux yeux quand j'ai vu un petit bonhomme dans le bus qui avait une étrange ressemblance physique avec toi -même couleur d'yeux, même bouille rêveuse. Je t'ai toujours préféré à ta soeur, tu es beaucoup plus profond.
Bref.Je t'ai retrouvée sur Facebook, Puce. Oui, tu as grandi, maintenant tu demandes des gens en amis sur Facebook ... ha, y'a plus d'enfance.
Une main tendue vite gâchée par le fait que tu supprimais mes petits mots et ignorais mes messages privés. J'ai donc demandé à ton père ce qui se passait, espérant naïvement récolter quelques informations sur comment tu allais, comment tu avais pris la nouvelle, ... mais non : il a répondu qu'il n'était au courant de rien. Et toi tu as essayé de me faire du mal et de me manipuler. Au début, j'ai été gentille, compréhensive. Puis j'ai remis les pendules à l'heure : non. Tu seras toujours la bienvenue, mais pas comme ça. Puis j'ai préféré m'éloigner un peu de toi, pour me protéger. Et si je me suis débarassée de la culpabilité, je souffre désormais de cette expérience. Mais je ne t'en veux pas : je sais que tu es perturbée ... tu n'es qu'une enfant.
Zig, de toi je n'ai aucune nouvelle. J'ai l'impression de t'avoir abandonné. Ta soeur m'a dit qu'il fallait que je vous foute la paix, et tu étais dans la liste des gens à laisser tranquille. ça vient de toi ? Ou elle cherche à te manipuler, toi aussi ? Tu me détestes ? Ou je te manque ? En tout cas toi, tu me manques. Beaucoup. Des larmes me sont montées aux yeux quand j'ai vu un petit bonhomme dans le bus qui avait une étrange ressemblance physique avec toi -même couleur d'yeux, même bouille rêveuse. Je t'ai toujours préféré à ta soeur, tu es beaucoup plus profond.
Entre votre père et moi, c'est légèrement. Comment dire. Le bordel ? On s'aime encore ... et bizarrement, c'est le fait d'essayer de renouer avec vous qui nous a fait renouer ensemble.