... Papa et Maman obéissent !
Cette fois-ci, le caprice du Roi Zig était de retourner chez sa mère ... après quelques molles tentatives pour le convaincre, Papa s'est executé.
Résultat, un père effondré, se sentant indigne, mal aimé, et déjà en manque de son enfant qu'il voit si peu et qui devait encore passer trois semaines dans son nid ; un gamin qui s'en veut probablement déjà, et qui en veut probablement aussi à ses parents ; une Puce encore plus insupportable et minaudeuse d'avoir son Paaaaapa à elle toute seule ; une mère qui se marre bien, d'avoir, une fois de plus, le dessus sur son ex ; et une Belle Mère agacée, agacée, agacée.
Parce qu'il me l'a dit à demi-mot et que tout dans son comportement le trahissait, me parait évident que mon beau-fils a eu très, très peur de cet inconnu (je ne parle pas de son père -quoique ...- mais du centre aéré, de cette ville inconnue, du quotidien avec un père qui ne lui donne aucune règle, aucune base, aucun repère) et il convenait non pas de lui céder, mais de le consoler, le rassurer ...
Je saiiiiis, on va encore me dire "Mais tu es qui toi, qui n'as pas d'enfants, pour leur faire la morale ?" mais mon coeur n'a pas besoin d'être celui d'une mère pour s'indigner.
Cette note pour sortir ma colère mais aussi pour me demander pourquoi, finalement, je prends les choses autant à coeur ...
Cette fois-ci, le caprice du Roi Zig était de retourner chez sa mère ... après quelques molles tentatives pour le convaincre, Papa s'est executé.
Résultat, un père effondré, se sentant indigne, mal aimé, et déjà en manque de son enfant qu'il voit si peu et qui devait encore passer trois semaines dans son nid ; un gamin qui s'en veut probablement déjà, et qui en veut probablement aussi à ses parents ; une Puce encore plus insupportable et minaudeuse d'avoir son Paaaaapa à elle toute seule ; une mère qui se marre bien, d'avoir, une fois de plus, le dessus sur son ex ; et une Belle Mère agacée, agacée, agacée.
Parce qu'il me l'a dit à demi-mot et que tout dans son comportement le trahissait, me parait évident que mon beau-fils a eu très, très peur de cet inconnu (je ne parle pas de son père -quoique ...- mais du centre aéré, de cette ville inconnue, du quotidien avec un père qui ne lui donne aucune règle, aucune base, aucun repère) et il convenait non pas de lui céder, mais de le consoler, le rassurer ...
Je saiiiiis, on va encore me dire "Mais tu es qui toi, qui n'as pas d'enfants, pour leur faire la morale ?" mais mon coeur n'a pas besoin d'être celui d'une mère pour s'indigner.
Cette note pour sortir ma colère mais aussi pour me demander pourquoi, finalement, je prends les choses autant à coeur ...